Une partie de la vraie biographie des Messieurs les Frères Nicolas et Martial Mutte

  • Nicolas Mutte n’a jamais été en charge des déplacements protocolaires du Préfet de Paris. Par contre, il a été le chauffeur du Président d’Honneur de la Fondation de France, Olivier Philip qui était lui-même Préfet de Paris de 1984 à 1991. Donc Nicolas Mutte a été le chauffeur, en 1992, du Président d’Honneur de la Fondation de France qui était « ancien » Préfet de Paris. Le flou est entretenu dans sa biographie « officielle ».
  • Martial son frère a effectué divers services de conduite en tant que chauffeur d’un PDG d’une société parisienne, où Martial vivait avec ses parents dans un appartement de fonction.
  • Ni l’un ni l’autre des deux frères n’a effectué de mission à l’étranger, ils ont toujours exercé en tant que chauffeur en région parisienne exclusivement.
  • Contrairement aux affirmations des deux frères, leur père n’était pas officier mais sous-officier et a terminé sa carrière à la DGGN (Direction générale de la Gendarmerie nationale) à Paris avec le grade de Chef.
    Leur mère n’a jamais été traductrice auprès des ambassades, elle était mère au foyer pour s’occuper de ses quatre enfants, ce qui très respectueux et tout à son honneur.
  • Martial n’a jamais fait carrière chez les Hussards. Il a effectué comme beaucoup d’autres la durée légale du service militaire dont quelques mois passés chez les paras.
  • Nicolas n’aurait effectué qu’un simple stage dans une société d’édition de Paris afin de préparer un diplôme niveau BEP ou CAP. Donc loin de ses prétendues études d’administration générale.
  • Leur tentative d’élevage de chevaux de polo a mis à contributions financières quelques personnes également séduites et peut-être naïves comme plusieurs autres depuis.
  • Dans les années 90, avec leurs parents, les deux frères ont quitté le Nord de la France pour commencer un périple dans le monde équestre en effet (pension de cheval et tentatives d’élevage). Des déchirures familiales les ont conduit finalement à une séparation plusieurs années.
  • Nicolas s’établit ensuite dans le sud de la France dans la région de Manosque et Martial à Deauville le premier en tant qu’intérimaire / manutentionnaire dans des usines à Manosque puis Maréchal Ferrant à son compte, et le deuxième en tant qu’Agent de sécurité dans un hôtel connu puis ASVP auprès de la Mairie de Deauville (après être resté chez ses parents jusqu’à ses 30 ans sans travailler durablement et sans fantomatique carrière militaire).
  • Un jour leur vînt l’idée d’écrire en commun, les colères du passé s’étant dissipées.
    Des rencontres et personnalités utilisées habilement deviennent complices sans le savoir de leur surprenante (pseudo-)ascension qu’ils ne méritent certainement pas au regard de tous ces mensonges qui les animent depuis tant d’années.
    Y compris tous les mensonges dont je dois ignorer les contenus et les effets car quand on ment une fois on peut aisément mentir un millier d’autres fois, surtout quand on ne dispose d’aucune autre ressource intrinsèque pour progresser.
  • En tout état de cause, les faux titres de noblesse actuels usurpés par ces personnages, ne sont qu’une suite logique de leur impitoyable conduite arriviste basée sur un tissu de mensonges.
  • La conduite serait par ailleurs animée par des croyances de destinées plutôt farfelues chez les frères Mutte qui n’hésitent pas sur leur parcours à “utiliser” des individus ciblés qui donneront de leur personne et ensuite se verront jeter aux ordures tels de vieux citrons pressés.
  • La mise en avant du chiffre 7 pour des périodes de sa vie dans la biographie de « son altesse sérénissime », sur le faux site de la Principauté de Seborga, est révélatrice de l’effet d’influence de leurs croyances.
  • Je me permets donc, au vu de tous ses précédents mensonges, de douter de l’exactitude de ces périodes ainsi que de leur contenu (conseiller politique etc… alors que « son altesse » omet tout de même de signaler sa carrière de Maréchal Ferrant !). Les philosophes considèrent que le mensonge pour des intérêts purement personnels (financiers, de carrière etc…) est une faute morale lourde.
  • De toute évidence les frères Mutte s’animent et s’autoalimentent par le mensonge ce qui les rapproche sans doute de la mythomanie.
    Ils finissent ainsi par se noyer eux-mêmes dans leurs propres mensonges et croire en une destinée biblique « exceptionnelle ». Ces gens n’ont aucune morale, pour eux seule la fin semblant justifier les moyens.
  • Comme le ridicule ne tue pas Nicolas autoproclamé prince de la principauté de Seborga, non satisfait s’est ensuite auto-proclamé prince à vie. Voilà, comme par magie, il n’est plus Nicolas Mutte, il devient Nicolas 1er DE Seborga !! Ce qui est bien la preuve de méconnaissance totale de l’Histoire et de ce que représente ce lieu de Seborga.
  • Martial Mutte devient Martial Mutte DE Sabourg !! (un des anciens noms français attribué à Seborga) comme pour effacer tout lien de fratrie…
  • Bientôt Nicolas devra justifier ces dires et révélations comme par exemple son entretien privé et secret qu’il aurait eu avec sa Sainteté le Pape François.
  • Nous avons réceptionné un grand nombre de correspondances et de témoignages de personnes qui ont été en contact avec les Messieurs les frères Mutte et leur complice Monsieur celui qui se fait appelé (John) DECKON dont nous révèlerons ultérieurement ses activités.
  • Nous vous révèlerons aussi comment Nicolas a réussi à se faire remettre certaines médailles ou titres. Les regrets de certains chevaliers et autres dignitaires nous sont parvenus.
  • Nicolas Mutte avait la possibilité de se présenter en tant qu’indépendant aux élections de la Principauté de Seborga qui ont eu lieu le 23 avril 2017 (il aurait pu même être élu) mais il ne l’a pas fait alors que c’était un objectif fixé au départ de cette aventure.
  • Et bien c’est Marcello Menegatto qui a été réélu par la population. Actuellement c’est donc Marcello 1er qui est Prince de Seborga. C’est cela la raison du peuple souverain qui prime et non la tyrannie d’un Prince d’une Principauté virtuelle Internet.
  • Et enfin jusqu’à preuve du contraire ce sont bien les lois de la République italienne qui s’appliquent actuellement sur le territoire de Seborga et non celles de Monsieur Nicolas Mutte.

A bon entendeur.
seborgajuridique@gmail.com

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Intervista, Storia